9 vues • Il y a 1 an
Conférence du Cercle d'Etudes Pierre Lambert, sur « L'Etat et la Révolution » de Lénine présentée par Jérôme Legavre, député LFI-Nupes et militant du Parti Ouvrier Indépendant.
Cercle d'Études Pierre Lambert
Conférence du Cercle d'Etudes Pierre Lambert, sur « L'Etat et la Révolution » de Lénine présentée par Jérôme Legavre, député LFI-Nupes et militant du Parti Ouvrier Indépendant.
10 vues • Il y a 12 mois
Les samedi 13 et dimanche 14 janvier, l'Institut La Boétie organisait la première édition de ses « Journées économiques : pour une économie au service des besoins ».
Relocaliser l’industrie : quelle bifurcation écologique et sociale ?
La crise du Covid-19 a fait apparaître au grand jour le désastre que représente la destruction et la délocalisation de l’appareil industriel français ayant cours depuis des décennies. Le pays a mis en jeu son indépendance pour entrer dans la course au dumping social et environnemental généralisé.
Si un relatif consensus rassemble aujourd’hui les décideurs autour de la nécessité d’une réindustrialisation, les modalités concrètes et les objectifs diffèrent fortement. Quelles filières faut-il investir pour réduire notre empreinte carbone et développer notre autonomie industrielle ? La question des outils se pose également : incitations aux entreprises, mise en concurrence internationale ou protectionnisme écologique ?
Intervenant·es :
Nadine Levratto, directrice du laboratoire EconomiX de l’université Paris Nanterre et économiste spécialiste de l’industrie et de l’innovation
Matthias Tavel, député LFI-NUPES, membre de la Commission des Affaires économiques
Christian Saint-Etienne, économiste et professeur émérite au Conservatoire national des arts et métiers
Animée par : Hervé Nathan (Alternatives Économiques)
Les samedi 13 et dimanche 14 janvier, l'Institut La Boétie organisait la première édition de ses « Journées économiques : pour une économie au service des besoins ».
Relocaliser l’industrie : quelle bifurcation écologique et sociale ?
La crise du Covid-19 a fait apparaître au grand jour le désastre que représente la destruction et la délocalisation de l’appareil industriel français ayant cours depuis des décennies. Le pays a mis en jeu son indépendance pour entrer dans la course au dumping social et environnemental généralisé.
Si un relatif consensus rassemble aujourd’hui les décideurs autour de la nécessité d’une réindustrialisation, les modalités concrètes et les objectifs diffèrent fortement. Quelles filières faut-il investir pour réduire notre empreinte carbone et développer notre autonomie industrielle ? La question des outils se pose également : incitations aux entreprises, mise en concurrence internationale ou protectionnisme écologique ?
Intervenant·es :
Nadine Levratto, directrice du laboratoire EconomiX de l’université Paris Nanterre et économiste spécialiste de l’industrie et de l’innovation
Matthias Tavel, député LFI-NUPES, membre de la Commission des Affaires économiques
Christian Saint-Etienne, économiste et professeur émérite au Conservatoire national des arts et métiers
Animée par : Hervé Nathan (Alternatives Économiques)
8 vues • Il y a 12 mois
Les samedi 13 et dimanche 14 janvier, l'Institut La Boétie organisait la première édition de ses « Journées économiques : pour une économie au service des besoins ».
Comment financer la bifurcation écologique et remettre en question la croissance ?
La publication du rapport Pisani-Ferry a relancé le débat autour des moyens financiers à consacrer à la bifurcation écologique, alors que les sommes actuellement consacrées sont unanimement considérées comme insuffisantes. Comment financer une bifurcation à la hauteur du défi écologique, tout en la rendant socialement juste ? Comment faire en sorte que ce financement ne repose pas sur les classes populaires, qui sont les premières touchées par les conséquences du dérèglement climatique ?
De plus, s’il est désormais largement admis que poursuivre la croissance comme seul objectif économique est mortifère socialement et écologiquement, les alternatives font débat. La croissance “verte” peut-elle répondre aux besoins en respectant les contraintes de la bifurcation écologique ? Ou au contraire, faut-il une décroissance organisée, en opposition frontale avec le modèle actuel ? Le cadre conceptuel même de la croissance est interrogé, pour inventer une société post-croissance qui se fonde sur des indicateurs alternatifs.
Intervenant·es :
Mathilde Panot, présidente du groupe LFI-NUPES à l’Assemblée nationale
Jean Pisani-Ferry, économiste, ex-commissaire général de France Stratégie (2013-2017), senior fellow à Bruegel et professeur à Sciences Po Paris
Cédric Durand, économiste et professeur au département d’Histoire, Économie et Société à l’Université de Genève
Laurence Tubiana, professeure à Sciences Po Paris et à l’université Columbia, et fondatrice de l’IDDRI
Animée par : Christian Chavagneux (Alternatives Économiques)
Les samedi 13 et dimanche 14 janvier, l'Institut La Boétie organisait la première édition de ses « Journées économiques : pour une économie au service des besoins ».
Comment financer la bifurcation écologique et remettre en question la croissance ?
La publication du rapport Pisani-Ferry a relancé le débat autour des moyens financiers à consacrer à la bifurcation écologique, alors que les sommes actuellement consacrées sont unanimement considérées comme insuffisantes. Comment financer une bifurcation à la hauteur du défi écologique, tout en la rendant socialement juste ? Comment faire en sorte que ce financement ne repose pas sur les classes populaires, qui sont les premières touchées par les conséquences du dérèglement climatique ?
De plus, s’il est désormais largement admis que poursuivre la croissance comme seul objectif économique est mortifère socialement et écologiquement, les alternatives font débat. La croissance “verte” peut-elle répondre aux besoins en respectant les contraintes de la bifurcation écologique ? Ou au contraire, faut-il une décroissance organisée, en opposition frontale avec le modèle actuel ? Le cadre conceptuel même de la croissance est interrogé, pour inventer une société post-croissance qui se fonde sur des indicateurs alternatifs.
Intervenant·es :
Mathilde Panot, présidente du groupe LFI-NUPES à l’Assemblée nationale
Jean Pisani-Ferry, économiste, ex-commissaire général de France Stratégie (2013-2017), senior fellow à Bruegel et professeur à Sciences Po Paris
Cédric Durand, économiste et professeur au département d’Histoire, Économie et Société à l’Université de Genève
Laurence Tubiana, professeure à Sciences Po Paris et à l’université Columbia, et fondatrice de l’IDDRI
Animée par : Christian Chavagneux (Alternatives Économiques)
33 vues • Il y a 2 ans
Je vous copie-colle l’appel :
> **Notre pays est confronté à une hausse historique des prix. L’inflation dépasse déjà les 6 %. L’impact est considérable pour des millions de jeunes, de salariés, de chômeurs ou de retraités qui ne parviennent tout simplement plus à vivre, à se nourrir ou à se déplacer. Il y a urgence !**
> Dans le même temps, des grandes multinationales profitent de cette situation. La hausse des prix leur a permis de générer des profits records depuis plusieurs mois. Au premier semestre de l’année 2022, les bénéfices de Total s’élèvent par exemple à 18,8 milliards d’euros… alors que cette entreprise n’a payé aucun impôt en France en 2019 et en 2020. C’est insupportable !
> Face à cette situation, l’Espagne, l’Italie ou le Royaume-Uni ont mis en place une taxe sur les super-profits. Le secrétaire général de l’ONU s’est dit favorable à une telle mesure. Les députés de la France insoumise et de la Nouvelle Union Populaire écologique et sociale (NUPES) ont également fait cette proposition à l’Assemblée nationale. Mais Emmanuel Macron, le président des riches, refuse toujours cette mesure pourtant simple à mettre en place.
> **Nous demandons que soit votée dans les plus brefs délais une loi de taxation des super-profits des multinationales. C’est une revendication de justice face à la situation sociale que connait aujourd’hui notre pays.**
[Taxons les super profits](https://taxesuperprofits.fr/)
***
La France Insoumise et plus largement la NUPES appellent à taxer les super-profits, je n’ai pas grand chose à ajouter à l’appel rédigé par le groupe, je vous invite à aller signer et faire tourner cet appel.
Je vous copie-colle l’appel :
> **Notre pays est confronté à une hausse historique des prix. L’inflation dépasse déjà les 6 %. L’impact est considérable pour des millions de jeunes, de salariés, de chômeurs ou de retraités qui ne parviennent tout simplement plus à vivre, à se nourrir ou à se déplacer. Il y a urgence !**
> Dans le même temps, des grandes multinationales profitent de cette situation. La hausse des prix leur a permis de générer des profits records depuis plusieurs mois. Au premier semestre de l’année 2022, les bénéfices de Total s’élèvent par exemple à 18,8 milliards d’euros… alors que cette entreprise n’a payé aucun impôt en France en 2019 et en 2020. C’est insupportable !
> Face à cette situation, l’Espagne, l’Italie ou le Royaume-Uni ont mis en place une taxe sur les super-profits. Le secrétaire général de l’ONU s’est dit favorable à une telle mesure. Les députés de la France insoumise et de la Nouvelle Union Populaire écologique et sociale (NUPES) ont également fait cette proposition à l’Assemblée nationale. Mais Emmanuel Macron, le président des riches, refuse toujours cette mesure pourtant simple à mettre en place.
> **Nous demandons que soit votée dans les plus brefs délais une loi de taxation des super-profits des multinationales. C’est une revendication de justice face à la situation sociale que connait aujourd’hui notre pays.**
[Taxons les super profits](https://taxesuperprofits.fr/)
***
La France Insoumise et plus largement la NUPES appellent à taxer les super-profits, je n’ai pas grand chose à ajouter à l’appel rédigé par le groupe, je vous invite à aller signer et faire tourner cet appel.