7 vues • Il y a 5 mois
Le documentaire Chávez, le film ou Coup d’État contre Chavez (Chavez: Inside the Coup ou The Revolution Will Not Be Televised), réalisé par Kim Bartley et Donnacha O’Briain décrit le coup d’État de 2002 contre le président Hugo Chavez.
Il a été tourné alors que les deux réalisatrices préparaient un documentaire sur le président Hugo Chávez au Venezuela. Elles se trouvaient à l’intérieur du palais présidentiel quand fut déclenché, le 11 avril 2002, le coup d’État conduit par les propriétaires des chaînes privées, les cadres de la compagnie pétrolière du Venezuela, ainsi qu’une poignée de dirigeants militaires avec le soutien, entre autres, des États-Unis, de l’Espagne, de la Colombie et du Salvador. Le film présente la chronologie du putsch et la mobilisation des millions de Vénézuéliens qui entraîna le retour au pouvoir d’Hugo Chávez 48 h après le début du coup, grâce à la garde présidentielle.
Ce documentaire a obtenu, entre autres, deux prix au Grierson Documentary Awards anglais en 2003. Il a été diffusé sur Arte en 2004.
Le documentaire Chávez, le film ou Coup d’État contre Chavez (Chavez: Inside the Coup ou The Revolution Will Not Be Televised), réalisé par Kim Bartley et Donnacha O’Briain décrit le coup d’État de 2002 contre le président Hugo Chavez.
Il a été tourné alors que les deux réalisatrices préparaient un documentaire sur le président Hugo Chávez au Venezuela. Elles se trouvaient à l’intérieur du palais présidentiel quand fut déclenché, le 11 avril 2002, le coup d’État conduit par les propriétaires des chaînes privées, les cadres de la compagnie pétrolière du Venezuela, ainsi qu’une poignée de dirigeants militaires avec le soutien, entre autres, des États-Unis, de l’Espagne, de la Colombie et du Salvador. Le film présente la chronologie du putsch et la mobilisation des millions de Vénézuéliens qui entraîna le retour au pouvoir d’Hugo Chávez 48 h après le début du coup, grâce à la garde présidentielle.
Ce documentaire a obtenu, entre autres, deux prix au Grierson Documentary Awards anglais en 2003. Il a été diffusé sur Arte en 2004.
258 vues • Il y a 11 mois
1844. De toute part, dans une Europe en ébullition, les ouvriers, premières victimes de la “Révolution industrielle”, cherchent à s'organiser devant un “capital” effréné qui dévore tout sur son passage.
Karl Marx, journaliste et jeune philosophe de 26 ans, victime de la censure d’une Allemagne répressive, s’exile à Paris avec sa femme Jenny où ils vont faire une rencontre décisive : Friedrich Engels, fils révolté d’un riche industriel Allemand.
Intelligents, audacieux et téméraires, ces trois jeunes gens décident que “les philosophes n’ont fait qu’interpréter le monde, alors que le but est de le changer". Entre parties d'échecs endiablées, nuits d'ivresse et débats passionnés, ils rédigent fiévreusement ce qui deviendra la “bible” des révoltes ouvrières en Europe : “Le manifeste du Parti Communiste”, publié en 1848, une œuvre révolutionnaire sans précédent.
1844. De toute part, dans une Europe en ébullition, les ouvriers, premières victimes de la “Révolution industrielle”, cherchent à s'organiser devant un “capital” effréné qui dévore tout sur son passage.
Karl Marx, journaliste et jeune philosophe de 26 ans, victime de la censure d’une Allemagne répressive, s’exile à Paris avec sa femme Jenny où ils vont faire une rencontre décisive : Friedrich Engels, fils révolté d’un riche industriel Allemand.
Intelligents, audacieux et téméraires, ces trois jeunes gens décident que “les philosophes n’ont fait qu’interpréter le monde, alors que le but est de le changer". Entre parties d'échecs endiablées, nuits d'ivresse et débats passionnés, ils rédigent fiévreusement ce qui deviendra la “bible” des révoltes ouvrières en Europe : “Le manifeste du Parti Communiste”, publié en 1848, une œuvre révolutionnaire sans précédent.
7 vues • Il y a 2 ans
# Du Jeudi 25 à hier, Dimanche 28 Août 2022, à Valence dans la Drôme, se sont déroulés les Universités d’Été de la France Insoumise, nommées les « AMFiS » [ɑ̃fi] !
## · Mais qu’est-ce que c’est « les AMFiS » ?
Ce sont donc des universités d’été, un lieu où se retrouvent toustes les militant·e·s de La France Insoumise et ses alliés tels que le POI, la Gauche Révolutionnaire, REV, etc. afin de suivre des conférences, des débats, des formations populaires et des meetings. Mais c’est aussi un lieu convivial où les différent·e·s camarades de la même circonscription, département ou région, qui n’ont pas toujours l’occasion de se rencontrer peuvent s’y croiser, mais aussi rencontrer celles et ceux des autres régions. C’est un moment d’échange, de débat, de critiques aussi parfois, de remise en question, d’interrogation et surtout un moment de partage. Il y a même des personnes qui ne militent pas et qui sont sympathisantes, de près ou de loin et qui veulent écouter quelques conférences.
Dans un cadre agréable du Palais des Congrès Sud Rhône-Alpes à Châteauneuf-sur-Isère (26), bordé par un grand lac et de la verdure, un village d’irréductibles gaulois réfractaires se réunissent de 8h30 à 00h15 pour les plus téméraires, se terminant tous les soirs par un ou plusieurs concerts. D’autres rendez-vous culturels existent, projections de films ou pièce de théâtre (*cette année, annulé en dernière minute*).
Des food-trucks et une buvette sont là aussi pour se restaurer.
## · Des conférences et des débats, de quel·le nature ?
Soyons honnêtes, il est impossible de suivre 100% des conférences, plusieurs ont lieux en même temps, à plusieurs endroits de l’AMFiS. Les sujets sont divers et variés. Logement – Écologie – Économie – Manifestation – Précarité Numérique – Services Publics – Santé – Jeunesse – Gouvernance, sont autant de sujets abordés, et encore, je n’ai pas tout cité !
Je n’ai donc malheureusement pas pu suivre toutes les conférences que je souhaitais, mais j’ai pu assister à bon nombre d’entre elles.
## · Convaincre des convaincu·e·s ?
On pourrait penser que ces universités d’été sont là pour flatter l’égo des militant·e·s et continuer à convaincre des convaincu·e·s ? Et bien détrompez-vous, on y apprend pleins de choses et on peut même y contribuer en prenant la parole en fin de conférence mais aussi, continuer à débattre et échanger avec les autres militant·e·s sur une chaise longue au bord du lac ou sous les arbres ou encore à une table autour d’un jus de fruit ou même simplement en ronde assis·es dans l’herbe !
Une militante exprimait le fait de ne pas trop savoir s’il était possible d’organiser une marche dans sa ville, comment obtenir l’autorisation de manifestation sur voie publique, alors, l’ayant déjà fait, je l’interpelle et lui explique les démarches. C’est simplement de l’entraide.
## · Où sont les député·e·s aux AMFiS ?
99,99% des député·e·s sont accessibles, la plupart se promènent elleux aussi dans les AMFiS à la quête d’une conférence à regarder. J’ai pu, très facilement, interpeller et échanger avec Mathilde Panot sur un sujet militant, échanger quelques mots avec William Martinet, député dans mon département, croiser, échanger et discuter avec une ancienne collègue syndicaliste et actuelle députée Catherine Couturier. Croiser et échanger quelques mots avec d’autres député·e·s et même continuer à échanger très rapidement avec Hadrien Clouet à la gare TGV avant le départ.
Certes, avec certain·e·s j’ai échangé que quelques mots très furtifs, ou bien un « Salut, tu vas bien » avec une poignée de main comme avec Adrien Quatennens ou bousculer par inadvertance Clémence Guetté (si si, c’est vrai, j’ai pas fait exprès, oh ça va, je ne lui ai pas déboîté l’épaule non plus…).
## · Mais où est Jean-Luc dans tout ça ?
Jean-Luc Mélenchon était un peu partout et souvent avec des médias, il a aussi fait des dédicaces avec son livre, il a aussi tenu des conférences. Puis il a tenu un meeting de fin d’université, ce dimanche 28 à 10h15 où il rappel les enjeux actuels de notre gouvernement, il a donné aussi des indications sur les chemins à suivre, des conseils et comment s’organiser dans les groupes locaux.
## · Est-ce épuisant ou revigorant pour les militant·e·s ?
Clairement ? Les deux ! C’est épuisant, car il y avait tellement de conférences intéressantes qu’il m’a fallu être organisé sans relâche, parfois en trouvant à peine le temps de manger, pour ma part. Mais c’est vraiment revigorant, ça redonne la pèche pour continuer à militer dans les semaines, mois et l’année à venir. C’est vraiment motivant et encourageant. On sent que l’on peut réellement agir et avoir du pouvoir en tant que citoyen.
Les AMFiS 2023 ? Je ferais tout pour y aller, c’est une certitude !
## · Qu’allons-nous faire prochainement ?
Si vous n’êtes pas dans un groupe d’action local, alors rejoignez-en un, s’il n’y en a pas, créez-en un !
Nous avons souvent eu le reproche d’être là uniquement durant les élections, alors nous allons démontrer que ce n’est pas vrai en renforçant notre présence sur le terrain, travailler pour faire venir plus de monde, sûrement créer des conférences d’éducation populaire au niveau local, soutenir des actions syndicalistes, participer à des marches organisées au niveau national, continuer à travailler au sein des livrets d’actions (*groupements de travaux thématiques de la France Insoumise*) et que sais-je encore.
Voici une petite galerie photo que j’ai faites sur place durant ces 4 jours.
# Du Jeudi 25 à hier, Dimanche 28 Août 2022, à Valence dans la Drôme, se sont déroulés les Universités d’Été de la France Insoumise, nommées les « AMFiS » [ɑ̃fi] !
## · Mais qu’est-ce que c’est « les AMFiS » ?
Ce sont donc des universités d’été, un lieu où se retrouvent toustes les militant·e·s de La France Insoumise et ses alliés tels que le POI, la Gauche Révolutionnaire, REV, etc. afin de suivre des conférences, des débats, des formations populaires et des meetings. Mais c’est aussi un lieu convivial où les différent·e·s camarades de la même circonscription, département ou région, qui n’ont pas toujours l’occasion de se rencontrer peuvent s’y croiser, mais aussi rencontrer celles et ceux des autres régions. C’est un moment d’échange, de débat, de critiques aussi parfois, de remise en question, d’interrogation et surtout un moment de partage. Il y a même des personnes qui ne militent pas et qui sont sympathisantes, de près ou de loin et qui veulent écouter quelques conférences.
Dans un cadre agréable du Palais des Congrès Sud Rhône-Alpes à Châteauneuf-sur-Isère (26), bordé par un grand lac et de la verdure, un village d’irréductibles gaulois réfractaires se réunissent de 8h30 à 00h15 pour les plus téméraires, se terminant tous les soirs par un ou plusieurs concerts. D’autres rendez-vous culturels existent, projections de films ou pièce de théâtre (*cette année, annulé en dernière minute*).
Des food-trucks et une buvette sont là aussi pour se restaurer.
## · Des conférences et des débats, de quel·le nature ?
Soyons honnêtes, il est impossible de suivre 100% des conférences, plusieurs ont lieux en même temps, à plusieurs endroits de l’AMFiS. Les sujets sont divers et variés. Logement – Écologie – Économie – Manifestation – Précarité Numérique – Services Publics – Santé – Jeunesse – Gouvernance, sont autant de sujets abordés, et encore, je n’ai pas tout cité !
Je n’ai donc malheureusement pas pu suivre toutes les conférences que je souhaitais, mais j’ai pu assister à bon nombre d’entre elles.
## · Convaincre des convaincu·e·s ?
On pourrait penser que ces universités d’été sont là pour flatter l’égo des militant·e·s et continuer à convaincre des convaincu·e·s ? Et bien détrompez-vous, on y apprend pleins de choses et on peut même y contribuer en prenant la parole en fin de conférence mais aussi, continuer à débattre et échanger avec les autres militant·e·s sur une chaise longue au bord du lac ou sous les arbres ou encore à une table autour d’un jus de fruit ou même simplement en ronde assis·es dans l’herbe !
Une militante exprimait le fait de ne pas trop savoir s’il était possible d’organiser une marche dans sa ville, comment obtenir l’autorisation de manifestation sur voie publique, alors, l’ayant déjà fait, je l’interpelle et lui explique les démarches. C’est simplement de l’entraide.
## · Où sont les député·e·s aux AMFiS ?
99,99% des député·e·s sont accessibles, la plupart se promènent elleux aussi dans les AMFiS à la quête d’une conférence à regarder. J’ai pu, très facilement, interpeller et échanger avec Mathilde Panot sur un sujet militant, échanger quelques mots avec William Martinet, député dans mon département, croiser, échanger et discuter avec une ancienne collègue syndicaliste et actuelle députée Catherine Couturier. Croiser et échanger quelques mots avec d’autres député·e·s et même continuer à échanger très rapidement avec Hadrien Clouet à la gare TGV avant le départ.
Certes, avec certain·e·s j’ai échangé que quelques mots très furtifs, ou bien un « Salut, tu vas bien » avec une poignée de main comme avec Adrien Quatennens ou bousculer par inadvertance Clémence Guetté (si si, c’est vrai, j’ai pas fait exprès, oh ça va, je ne lui ai pas déboîté l’épaule non plus…).
## · Mais où est Jean-Luc dans tout ça ?
Jean-Luc Mélenchon était un peu partout et souvent avec des médias, il a aussi fait des dédicaces avec son livre, il a aussi tenu des conférences. Puis il a tenu un meeting de fin d’université, ce dimanche 28 à 10h15 où il rappel les enjeux actuels de notre gouvernement, il a donné aussi des indications sur les chemins à suivre, des conseils et comment s’organiser dans les groupes locaux.
## · Est-ce épuisant ou revigorant pour les militant·e·s ?
Clairement ? Les deux ! C’est épuisant, car il y avait tellement de conférences intéressantes qu’il m’a fallu être organisé sans relâche, parfois en trouvant à peine le temps de manger, pour ma part. Mais c’est vraiment revigorant, ça redonne la pèche pour continuer à militer dans les semaines, mois et l’année à venir. C’est vraiment motivant et encourageant. On sent que l’on peut réellement agir et avoir du pouvoir en tant que citoyen.
Les AMFiS 2023 ? Je ferais tout pour y aller, c’est une certitude !
## · Qu’allons-nous faire prochainement ?
Si vous n’êtes pas dans un groupe d’action local, alors rejoignez-en un, s’il n’y en a pas, créez-en un !
Nous avons souvent eu le reproche d’être là uniquement durant les élections, alors nous allons démontrer que ce n’est pas vrai en renforçant notre présence sur le terrain, travailler pour faire venir plus de monde, sûrement créer des conférences d’éducation populaire au niveau local, soutenir des actions syndicalistes, participer à des marches organisées au niveau national, continuer à travailler au sein des livrets d’actions (*groupements de travaux thématiques de la France Insoumise*) et que sais-je encore.
Voici une petite galerie photo que j’ai faites sur place durant ces 4 jours.